LĂ©crivain entretient avec l'Afrique une relation privilĂ©giĂ©e, pour y avoir Ă©tĂ© conçu et partiellement Ă©levĂ©. Dans un trĂšs beau passage, Le ClĂ©zio dĂ©crit une photo prise par son pĂšre aux tout dĂ©buts de ses pĂ©rĂ©grinations africaines : Au premier plan, tout prĂšs du rivage, on voit la case blanche dans laquelle mon pĂšre a logĂ© en arrivant. Son histoire personnelle tĂ©moigne de RĂ©sumĂ©du document. Ce chapitre XVI est issu du roman VipĂšre au poing d'HervĂ© Bazin, Ă©crivain français, nĂ© en 1911, mort en 1996. C'est avec ce roman, paru en 1948, que Bazin connaĂźt la notoriĂ©tĂ©. Il s'agit d'un roman autobiographique, mĂȘme si la rĂšgle fondamentale de l'autobiographie n'est pas respectĂ©e. 38 Belle du 02-10-2021 · > VipĂšre au poing, de HervĂ© Bazin Document envoyĂ© le 10-07-2011 par StĂ©phanie Thomas CorrigĂ© du devoir bilan type Brevet (extrait du chapitre XX du roman VipĂšre au poing, de H. Bazin.) > VipĂšre au poing, de HervĂ© Bazin Document envoyĂ© le 10-07-2011 par StĂ©phanie Thomas Devoir d'entraĂźnement au HervĂ© Bazin, VipĂšre au poing : cash. L'histoire dĂ©bute durant l'Ă©tĂ© 1922. Un enfant dĂ©couvre une vipĂšre. Il la saisit et l'Ă©touffe de ses mains. Cet acte lui vaut d'ĂȘtre comparĂ© Ă  Hercule, le personnage de la mythologie grecque, qui dans son berceau Ă©trangla deux serpents. 25 ans plus tard, Jean Rezeau, "l'enfant de 1922" est le narrateur de l'histoire. Son surnom est Brasse-Bouillon. Il Ă©voque la propriĂ©tĂ© de sa famille, La Belle Angerie. Il prĂ©sente sa grand-mĂšre paternelle, Mme Rezeau, chez qui lui et son frĂšre aĂźnĂ©, Ferdinand, ont passĂ©, parmi des domestiques dĂ©vouĂ©s, quelques annĂ©es d'enfance heureuses tandis que leurs parents et leur plus jeune frĂšre sĂ©journaient en Chine. M. Rezeau pĂšre enseignait le droit international dans une universitĂ© chinoise. Lorsque Jean a huit ans, sa grand-mĂšre meurt d'une maladie des reins. Les parents doivent rentrer de Chine. Les deux frĂšres ont hĂąte de revoir leurs parents et de dĂ©couvrir ce petit frĂšre, Marcel, qu'ils ne connaissent pas. Mais les retrouvailles se transforment en cauchemar. Les deux frĂšres sont sur le quai de la gare de SegrĂ© pour accueillir leurs parents et leur petit frĂšre. Ils se prĂ©cipitent vers leur mĂšre pour l'embrasser. Mais celle-ci, agacĂ©e par ces gestes de tendresse les gifle sans mĂ©nagement et leur ordonne de porter les valises. M. Rezeau cesse de travailler et vit des revenus de la propriĂ©tĂ©. Homme faible, il est dominĂ© par sa femme et prĂ©fĂšre passer ses journĂ©es Ă  collectionner les insectes plutĂŽt que de s'occuper de ses enfants. Le narrateur dĂ©crit ensuite les autres membres de sa famille sa mĂšre, Mme Rezeau est la fille d'un sĂ©nateur, et la petite fille d'un banquier. TrĂšs riche , elle a apportĂ© une immense dot au mari que lui ont choisi ses parents. Puis Jean prĂ©sente ses frĂšres Ferdinand, l'aĂźnĂ©, dit Fredie que l'on appelle parfois Chiffe en raison de son caractĂšre timide et peureux; et Marcel, le jeune frĂšre, le prĂ©fĂ©rĂ© de sa mĂšre, qu'il dĂ©crit comme fourbe et travailleur. Jean, le narrateur que l'on appelle Brasse-Bouillon, se dĂ©crit comme un enfant joufflu, aimant la vie mais aussi rebelle et ayant mauvais caractĂšre. DĂšs leur arrivĂ©e, les parents imposent une discipline de fer. M. Rezeau Ă©tablit des horaires draconiens et Mme Rezeau commet de sĂ©vĂšres brimades, dont la plus traumatisante est de tondre ses enfants avec la tondeuse qui servait auparavant pour l'Ăąne Cadichon. Les deux frĂšres aĂźnĂ©s subissent la cruautĂ© de leur mĂšre, sa partialitĂ© et sa sĂ©vĂ©ritĂ©. Elle chasse Ernestine , la gouvernante, qui a eu le malheur de protester et peut ainsi Ă  sa guise imposer sa tyrannie . Elle nourrit mal ses enfants, et se permet pendant les repas de planter sa fourchette dans leurs mains. Elle les prive de promenades et les condamne Ă  passer leurs journĂ©es Ă  dĂ©sherber les allĂ©es du parc. Elle confisque les objets et les jouets de ses enfants ainsi que les friandises que leur offrent leurs grands-parents. Pire, le soir, aprĂšs la priĂšre, chaque enfant doit se confesser devant elle et le prĂ©cepteur et avouer les pĂ©chĂ©s de la journĂ©e. Marcel, le jeune fils prĂ©fĂ©rĂ©, en profite pour dĂ©noncer ses frĂšres. BlessĂ©s par tant de cruautĂ©, Fredie et Jean se rĂ©fugient dans l'hypocrisie et affublent leur mĂšre du surnom de Folcoche, association de folle et de cochonne. Durant la saison de chasse, M. Rezeau pĂšre propose Ă  ses enfants de l'accompagner et de rabattre le gibier. Les fils profitent pleinement des ces quelques heures de libertĂ©. Folcoche, elle, vit mal ce plaisir que leur procure ce loisir. Un soir, excĂ©dĂ© de constater que ses fils ont passĂ© une trĂšs agrĂ©able journĂ©e, elle dĂ©cide de sĂ©vir. Pour une fois, leur pĂšre dĂ©cide de s'interposer. VexĂ©e par cet Ă©chec Folcoche fait payer cette humiliation Ă  ses enfants. Sans aucun motif, les dents serrĂ©es, elle les bat. Le jardinier , qui a eu le malheur d'assister Ă  la scĂšne est licenciĂ©. Un soir pendant la priĂšre, Folcoche s'Ă©vanouit. Le mĂ©decin diagnostique des calculs Ă  la vĂ©sicule. En plus de la douleur que doit supporter Mme Rezeau, en raison de cette maladie, elle doit affronter Brasse-Bouillon qui a trouvĂ© comme seule dĂ©fense de la fixer dans les yeux durant les repas. Ce soir-lĂ  il parvient Ă  soutenir son regard pendant huit minutes. A la Belle Angerie, les prĂ©cepteurs se succĂšdent Ă  un rythme effrĂ©nĂ©. Soit ils ont le malheur de se hasarder Ă  des remarques, soit ils ne supportent pas cette ambiance haineuse. Les enfants commencent Ă  leur donner des surnoms, ainsi BIV est-il remplacĂ© par BV qui ne reste que 8 jours. Le 14 juillet 1927, Folcoche est hospitalisĂ©e Ă  Angers pour une opĂ©ration de la vĂ©sicule biliaire. Les garçons profitent de l'absence de leur mĂšre ils laissent repousser les pissenlits du jardin et leur cheveux. MĂȘme leur pĂšre semble aller mieux, ses migraines diminuent et il se met Ă  initier ses enfants Ă  sa passion des insectes, Ă  la politique,Ă  la botanique et Ă  l'astronomie. Folcoche tarde Ă  retrouver la santĂ©; ses garçons craignent son retour et se prennent Ă  rĂȘver de sa mort. Ils en profitent aussi pour se constituer des rĂ©serves une cachette dans la chambre de Fredie leur permet de stocker toutes les provisions qu'ils peuvent rĂ©cupĂ©rer. Folcoche rentre Ă  la Belle Angerie. Mais durant les quelques mois de son absence, ses fils ont grandi et les gifles qu'elle distribue toujours aussi gĂ©nĂ©reusement ont beaucoup moins d'impact. Il lui faut changer de stratĂ©gie. Elle essaye de renvoyer Fine, la femme qui sert la famille depuis trente ans, mais s'y oppose. Pour semer la discorde parmi les trois frĂšres qui ont constituĂ© un "pacte de dĂ©fense", Folcoche tente de corrompre Marcel, le jeune frĂšre, mais Brasse-Bouillon parvient Ă  maintenir l'union sacrĂ©e entre les enfants. Folcoche dĂ©cide alors d'Ă©loigner les deux aĂźnĂ©s pour mettre au point une nouvelle tactique. M. Rezeau pĂšre, Ferdinand et Jean partent en voiture dans le Gers. Cette aventure permet aux deux frĂšres de goroot-ater des plaisirs inconnus des hĂŽtes chaleureux, des lits confortables, des repas dĂ©licieux.... Mais bizarrement Brasse-Bouillon supporte mal cette vie sans interdiction et sans haine. Folcoche lui manque ... Une lettre de Marcel, leur frĂšre cadet, leur permet d'avoir les derniĂšres nouvelles de la Belle Angerie. Folcoche a engagĂ© un nouveau prĂ©cepteur encore plus sĂ©vĂšre que les prĂ©cĂ©dents. Elle a aussi dĂ©couvert la cachette oĂč les enfants stockaient leurs provisions. Le retour risque d'ĂȘtre terrible... Les enfants rentrent Ă  la Belle Angerie. AussitĂŽt ils donnent Ă  l'abbĂ© Traquet, leur nouveau prĂ©cepteur, le surnom de BVII. Celui-ci commence par fouetter FrĂ©die, en raison des provisions trouvĂ©es dans sa chambre. Mais Brasse-Bouillon ne reste pas inactif en cachette il rĂ©conforte son frĂšre aĂźnĂ© . Ensuite il jette le trouble chez Folcoche en lui laissant croire que le prĂ©cepteur a vraiment Ă©tĂ© trĂšs clĂ©ment avec le fautif. Puis il murmure au prĂ©cepteur que sa mĂšre le prend pour un simple domestique. Enfin il obtient de son pĂšre que FrĂ©die bĂ©nĂ©ficie d'une amnistie. Jean est devenu le principal souffre douleur de Folcoche. Elle multiplie les humiliations et lui, les reprĂ©sailles. C'est la "guerre civile". A l'actif de Folcoche les soupes Ă©pouvantablement salĂ©es, les habits de son fils qu'elle dĂ©chire et qu'elle accuse ensuite de nĂ©gligence. Brasse Bouillon n'est pas en reste il dĂ©chire la collection de timbres de Folcoche, arrose ses fleurs avec de l'eau de Javel. Pour faire payer Ă  leur mĂšre sa piĂ©tĂ© perfide , les frĂšres se dĂ©foulent dans les Ă©glises ils jettent les missels dans les bĂ©nitiers, dĂ©traquent les horloges, couvrent les murs de graffitis... Puis c'est la guerre "alimentaire" . Folcoche leur donne Ă  manger du poisson avariĂ© et accuse ses enfants d'avoir voulu empoisonner les chevaux. Cette accusation donne des idĂ©es aux enfants. Ils versent 100 gouttes de belladonne dans le cafĂ© de leur mĂšre pour l'empoisonner. Mais celle-ci qui a souvent utilisĂ© ce mĂ©dicament durant sa maladie n'aura qu'une "simple" colique. Les enfants ne dĂ©sarment pas , si l'empoisonnement a Ă©chouĂ©, alors ce sera la noyade dans la riviĂšre. Folcoche en rĂ©chappe miraculeusement. Folcoche qui comprend qu'elle a Ă©chappĂ© par deux fois Ă  la mort dĂ©cide de se venger. Elle demande Ă  l'abbĂ© Traquet de fouetter Brasse Bouillon , qu'elle soupçonne d'ĂȘtre le meneur. Il se barricade dans sa chambre et s'enfuit la nuit venue. Il parvient Ă  se rendre Ă  Paris chez ses grands parents maternels, les Pluvignec. Il est impressionnĂ© par ce sĂ©nateur qui vit dans le somptueux quartier d'Auteuil , par sa fortune mais est incommodĂ© par sa vanitĂ©. M. Pluvignec, lui, est amusĂ© par l'audace de son petit-fils et il promet d'=~=ĂŹuvrer pour rĂ©concilier l'enfant et sa famille. M. Rezeau pĂšre arrive Ă  Paris chercher son fils et Ă  la grande surprise de ce dernier il n'exprime aucune colĂšre, juste un embarras. Jean en vient presque Ă  regretter que ce ne soit pas Folcoche qui ait fait le voyage. Certes, il la dĂ©teste, mais elle, elle aurait fait preuve d'autoritĂ© et de fermetĂ©. Brasse Bouillon revient avec son pĂšre Ă  la Belle Angerie. L'ambiance est plutĂŽt Ă  l'indiffĂ©rence. Il prend alors l'habitude de se rĂ©fugier sur la plus haute branche d'un arbre de la propriĂ©tĂ©. Ce refuge, oĂč il se rend trĂšs souvent lui permet d'analyser la nouvelle situation. Il sait que maintenant son combat contre Folcoche a changĂ© de nature. Sa corpulence d'adolescent, ses initiatives, son assurance et son sens de la provocation impressionnent Folcoche. Il rĂȘve d'ĂȘtre bientĂŽt exclu de la famille. Les travaux recommencent Ă  la Belle Angerie il faut dĂ©sherber les allĂ©es du parc, cirer les parquets du salon... Pourtant un anniversaire va modifier le quotidien. Cela fait vingt cinq ans que le vĂ©nĂ©rable RenĂ© Rezeau a Ă©tĂ© Ă©lu Ă  l'AcadĂ©mie française. Jacques Rezeau, le pĂšre de Jean souhaite organiser une grande cĂ©rĂ©monie familiale pour fĂȘter l'illustre octogĂ©naire. Le jour de la fĂȘte, il faut Ă©couter un discours assommant de trois heures. Jacques Rezeau profite de cette journĂ©e pour vanter les valeurs de la bourgeoisie et de la famille. Jean pour sa part a trouvĂ© cette cĂ©rĂ©monie dĂ©suĂšte et incongrue. La haine qu'il Ă©prouvait pour ses proches s'Ă©tend maintenant Ă  toute sa famille et Ă  toute la bourgeoisie. Brasse Bouillon et Folcoche se mĂ©nagent quelque peu. Jean a maintenant quinze ans et commence Ă  dĂ©sirer les femmes. Il jette son dĂ©volu sur Madeleine, une jeune fermiĂšre. Un dimanche d'Ă©tĂ©, en fin d'aprĂšs-midi, il parvient Ă  la sĂ©duire sous l'oeil attentif de FrĂ©die qui, Ă  la fois, contrĂŽle le voisinage et s'assure de la rĂ©ussite de son frĂšre. Pendant quelques semaines, Jean savoure sa conquĂȘte, mais trĂšs vite il s'irrite des marques de tendresse de Madeleine. Pour lui, les femmes ne peuvent ĂȘtre diffĂ©rentes de sa mĂšre, c'est pourquoi il s'en mĂ©fie. Folcoche qui sait maintenant que Brasse Bouillon la connaĂźt parfaitement souhaite l'Ă©loigner. Elle projette de cacher son portefeuille dans la chambre de son fils puis elle l'accusera. Jean pressent le piĂšge. Il voit sa mĂšre sortir de sa chambre et s'empresse de lui rapporter le portefeuille qu'elle a "oubliĂ©". La confrontation entre les deux adversaires n'a pas lieu, car finalement ils ont le mĂȘme objectif le dĂ©part de Jean pour le CollĂšge. Ce qu'il finit par obtenir pour lui et pour ses frĂšres Jean va prĂ©venir Madeleine de son dĂ©part. Il se moque de sa tristesse. Elle fond en larmes. Les trois garçons vont partir comme internes chez les JĂ©suites au Mans. Reste une haine dĂ©finitive entre Folcoche et Jean. Cette animositĂ© a façonnĂ© pour toujours la personnalitĂ© du narrateur. Il n'a plus confiance en rien ni en personne. Il quitte la Belle Angerie "une vipĂšre au poing". Notre avis Les avis des grands MĂŽmes - Ouais ben moi j'ai pas fini de le lire en entier mais perso en cours quand on le lit je m'endors, et le voc' c'est laisse tomber Ă  chaque phrase faut prendre le dico, donc pour l'instant ben j'aime pas trop... j'espĂšre que le film est mieux parce que je vais le voir le 9 avril. - Je trouve que ce livre est trĂšs intĂ©ressant mais trĂšs Ă©motif Ă©galement, une mĂšre ne doit en aucun cas ĂȘtre comme elle. Alors les futures mamans ne devenez jamais comme ça svp!!! - Le dĂ©but du livre n'est pas bien mais j'avoue que la fin me plait bien - Le rĂ©sumĂ© est vraiment trĂšs bien racontĂ©! fĂ©licitations!!!! Continuez ainsi!! - C'est un trĂšs bon livre! TrĂšs agrĂ©able Ă  lire! - Moi j'ai bien aimĂ© ce livre et les disputes entre Jean et sa mĂšre. Je comprends Jean mais je ne sais pas si j'aurais fait la mĂȘme chose parce que je ne sais pas si j'aurais eu la force. En tout cas si vous n'avez pas lu le livre lisez-le il est gĂ©nial et certains faits n'ont pas Ă©tĂ© racontĂ©s dans le rĂ©sumĂ©. - Moi je trouve que l'histoire elle est assez longue. Mais j'ai bien aimĂ© l'histoire et je voulais dire que c'est impensable de voir une mĂšre qui dĂ©teste ses enfants Ă  ce point lĂ  - Il est trĂšs bien et nous permet de comprendre le manque d'affection mais il est lourd - C'est un trĂšs bon livres mais il est mal adaptĂ© au cinĂ©ma - SĂ©rieux je confirme que se livre est Ă  ch[..] mais bon il y a quand mĂȘme des passages vaiment marrants surtout avec les surnoms qu'ils se donnent entre eux mais bon sĂ©rieux lĂ  c'est un peu abusĂ© le conflit entre la mĂšre et ses enfants, mais bon l'histoire est quand mĂȘme ac marent je trouve mĂȘme s'il est Ă  ch[..] et je voudrais remercier Florianne de m'avoir si gentiment donnĂ© le titre de ce livre dacostalbssdav bisous Ă  toi - Je n'ai pas beaucoup aimĂ© ce roman car pour moi il y a beaucoup de drames et c'est inimaginable qu' une mĂšre dĂ©teste ses enfants Ă  ce point. Des passages de ce livre sont dĂ©goutants et mĂȘme m'Ă©coeurent!!!! - il Ă© nul on s' endort quand on le li ne l' achetĂ© pas chui en train de le lire en classe il Ă© nul - Bon livre mais trop long - Quelles sont les diffĂ©rences entre le film et le livre ? - Il est trĂšs long mais si l'histoire nous plait vraiment on ne voit pas les pages passer. Merci et au revoir. c. - Une histoire assez compliquĂ©e, avec trop de rebondissements et de haine - C'est un roman enrichissant sur le point vocabulaire. On y touve une touche d'humour arroser les fleurs avec de l'eau de javel. Dans l'ensemble c'est une histoire triste relations familiales et parfois dure..... - Le livre doit ĂȘtre gĂ©nial moi en tout cas je suis allĂ©e voir le film au cinĂ©, il est super - C'est ennuyeux.... et puis trĂšs long.... j'aime pas trop... et le film, ennuyeux et nul ! -Il est bien mais l'histoire est assez longue!!!!!!!! Sinon ça va! Kissssssssss! mais le film doit ĂȘtre gĂ©nial! - TrĂšs chers lecteurs, VoilĂ  Ă  peine quelques jours que j'ai fini la lecture de VipĂšre au poing et je voudrai vous faire part de mon impression. Nous Ă©tudions l'autobiographie Ă  l'Ă©cole et voici une oeuvre assez spĂ©ciale. La haine que Jean porte Ă  sa mĂšre, ses expressions afin d'Ă©viter le terme affectueux et tendre de 'maman' m'ont beaucoup choquĂ©es. Mais en faisant le point sur son arbre favori, Jean se dĂ©cide Ă  changer de vie, de nom, de famille, de repĂšres. Ainsi il deviendra notre HervĂ© Bazin. Mais est-ce que Ă  ce jour, il peut encore aimer, ne se mĂ©fier de personne? Ce livre m'a Ă©normĂ©ment plu et j'espĂšre avoir bien d'autres oeuvres de sa part peut ĂȘtre plus tendre et moins dures. - J'ai trouvĂ© la lecture de ce livre trĂšs enrichissante. - Je l'Ă©tudie en classe et je dois avouer que je le trouve un peu Ă  ch[...]. Ma classe est unanime sur ce fait. J'ai juste bien aimĂ© le passage oĂč Jean [...] avec Madeleine... d- - C'est vraiment impensable qu'une mĂšre dĂ©teste Ă  ce point ses enfants. Ce livre m'Ă©coeure et n'est pas bien- Pas mal ï»żSi je te dis le mot “marĂątre” Ă  quelle Ɠuvre penses-tu ? Peut-ĂȘtre Ă  Cendrillon, certes, dans un premier temps. Mais si je te parle de VipĂšre au Poing, ça te dit quelque chose ? VipĂšre au Poing d’HervĂ© Bazin, c’est une Ɠuvre de littĂ©rature classique qu’il n’est pas rare d’étudier, notamment au collĂšge. Pour t’aider Ă  tout comprendre de ce roman, lis cet article oĂč tu trouveras le rĂ©sumĂ© de VipĂšre au poing, mais Ă©galement quelques Ă©lĂ©ments importants Ă  caser dans tes copies ! 😉 HervĂ© Bazin, l’auteur de VipĂšre au poing ✒ Qui Ă©tait HervĂ© Bazin ? đŸ€” HervĂ© Bazin – ou de son nom de naissance Jean Pierre Marie HervĂ©-Bazin – est un Ă©crivain et romancier français, nĂ© le 17 avril 1911 et mort le 17 fĂ©vrier 1996. Il est en particulier connu pour ses Ɠuvres VipĂšre au Poing, La Mort du petit cheval et Cri de la chouette. D’oĂč lui est venue l’inspiration pour VipĂšre au Poing ? 💭 Eh bien, les Ɠuvres d’HervĂ© Bazin sont tout simplement en grande partie autobiographiques ! Tu comprendras trĂšs vite pourquoi en lisant la suite de l’article, mais c’est son enfance qui lui a inspirĂ© son fameux livre ainsi que le personnage Folcoche. HervĂ© Bazin a grandi dans une famille aisĂ©e, Ă  Marans prĂšs d’Angers, dans la propriĂ©tĂ© familiale Le ChĂąteau du Patys avec ses deux frĂšres. Son pĂšre est Jacques HervĂ©-Bazin, un avocat de profession et sa mĂšre est Paule Guilloteaux, la fille du dĂ©putĂ© et sĂ©nateur Jean Guilloteaux. Durant son enfance, il s’oppose souvent Ă  sa mĂšre qui Ă©tait une femme autoritaire et froide. Du fait de son histoire familiale difficile, il fugue plusieurs fois durant son enfance, puis refuse de passer les examens Ă  la facultĂ© de droit d’Angers Ă  laquelle sa famille l’a forcĂ© Ă  aller. Il finit enfin par rompre le lien avec sa famille pour aller Ă©tudier Ă  la facultĂ© des lettres de la Sorbonne. VipĂšre au poing le contexte de l’histoire đŸ”„ IntĂ©ressons-nous maintenant Ă  ce qui t’intĂ©resse probablement le plus le rĂ©sumĂ© de VipĂšre au poing. 🚹 Spoilers inclus ! Qui nous raconte l’histoire de VipĂšre au poing ? đŸ€“ Le narrateur est Jean Rezeau, aussi surnommĂ© Brasse-Bouillon. Il nous raconte sa propre histoire, 25 ans aprĂšs les faits ainsi que celle de son frĂšre Ferdinand dit Fredie ou Chiffe en raison de son caractĂšre timide et peureux. Le cadre spatio-temporel de VipĂšre au poing ⏰ L’action se dĂ©roule durant l’étĂ© 1922 dans le chĂąteau familial de la Belle-Angerie, Ă  quelques kilomĂštres d’Angers. Un lieu que l’auteur connaĂźt bien puisqu’il a grandi dans les environs ! Durant cet Ă©tĂ©-lĂ , un Ă©vĂ©nement tragique se produit pour les deux frĂšres Jean et Ferdinand leur grand-mĂšre qui les Ă©levait jusqu’à prĂ©sent meurt, ce qui oblige leur pĂšre et leur mĂšre Ă  rentrer de Chine oĂč le pĂšre travaillait dans une universitĂ© pour pouvoir s’occuper des enfants. Le retour des parents le dĂ©but des pĂ©ripĂ©ties đŸ˜” Les deux frĂšres ne connaissent finalement que peu leurs parents, ayant Ă©tĂ© Ă©levĂ©s pendant des annĂ©es par leur grand-mĂšre. Ils ne connaissent pas non plus leur petit frĂšre, Marcel, le dernier nĂ© de la famille. Tu peux imaginer la hĂąte qu’ils ont de se retrouver en famille, non ? Pourtant, quand leurs parents arrivent c’est la douche froide. Alors qu’ils se jettent sur leur mĂšre pour Ă©changer de chaleureuses embrassades, celle-ci les gifle froidement et leur ordonne de porter leurs bagages. Leur petit frĂšre reste froid Ă©galement quand seul leur pĂšre daigne les embrasser. Folcoche portrait d’une marĂątre đŸ˜« Ferdinand et Jean rĂ©alisent rapidement que leur nouvelle vie ne va pas ĂȘtre aussi belle que ce Ă  quoi ils s’attendaient, en particulier Ă  cause de leur mĂšre qu’ils surnommeront par la suite Folcoche. À peine arrivĂ©s dans la maison, les parents Ă©dictent quelques nouvelles rĂšgles. Le pĂšre annonce que la journĂ©e commencera par une messe dans la chapelle privĂ©e Ă  5h30. Les garçons devront ensuite Ă©tudier avec l’abbĂ© qui vit avec eux et la journĂ©e se terminera Ă  21h30. Folcoche, quant Ă  elle, Ă©dicte d’autres rĂšgles les enfants n’auront plus le droit Ă  leur cafĂ© au lait du matin, ils auront le crĂąne rasĂ© pour des questions d’hygiĂšne et elle enlĂšvera les poĂȘles, Ă©dredons et coussins dans leurs chambres. De quoi passer les pires nuits d’hiver ! Les mesures draconiennes de Folcoche 😈 La mĂšre va donc commence par raser fils aprĂšs fils leurs cheveux, avec la tondeuse qui servait auparavant Ă  l’ñne Cadichon. Mais les maltraitances ne s’arrĂȘtent pas lĂ  Elle nourrit mal ses leur plante sa fourchette dans les mains s’ils adoptent une tenue incorrecteElle renvoie la gouvernante Ernestine qui a eu le malheur de dĂ©fendre les enfantsElle confisque leurs jouets et les friandises que leur offrent leurs grands-parentsElle les force Ă  se confesser devant elle et le prĂ©cepteur chaque soirElle les force Ă  porter de lourds sabots inconfortables pour ne pas abimer leurs chaussuresLes heures de rĂ©crĂ©ations sont maintenant destinĂ©es Ă  l’entretien du parc D’oĂč vient le nom de Folcoche dans VipĂšre au poing ? đŸ€” BlessĂ©s par le comportement de leur mĂšre, Fredie et Jean affublent leur mĂšre du surnom Folcoche qui est composĂ© des mots “folle” et “cochonne”. Ils commenceront Ă  graver un peu partout des “VF” qui signifient “Vengeance Ă  Folcoche”. RĂ©sumĂ© des chapitres 8 Ă  15 ✹ La partie de chasse avec le pĂšre đŸč Le pĂšre emmĂšne un jour ses fils Ă  une partie de chasse, ce qui leur permettra d’obtenir un moment de joie, mais surtout de rĂ©pit. Cependant, la mĂšre folle de haine d’avoir vu ses fils heureux dĂ©cide de les priver de ce loisir par la suite. Le pĂšre prend alors leur dĂ©fense, mais cela ne fait qu’empirer la situation puisque, humiliĂ©e, la marĂątre dĂ©cidera d’isoler les enfants dans une piĂšce et de les battre. Alors que Jean Rezeau tente de se dĂ©fendre, elle se met Ă  le battre jusqu’à l’épuisement. Au repas, bien que le pĂšre remarque les marques sur les corps de ses fils, il dĂ©cide cette fois de se taire. La maladie de Folcoche đŸ€§ Fort heureusement pour les enfants, un jour lors d’un repas la femme est prise d’un malaise. Elle est alors hospitalisĂ©e pendant plusieurs mois du fait d’une crise hĂ©patique. C’est un nouvel Ăąge d’or qui commence pour les enfants qui se rapprochent de leur pĂšre et voient toutes les anciennes interdictions levĂ©es. La haine qu’ils ressentent envers leur mĂšre est si forte qu’ils en viennent Ă  souhaiter sa mort. Celle-ci s’en sortira et reviendra Ă  la Belle-Angerie. Elle dĂ©couvre nĂ©anmoins avec horreur en rentrant que ses enfants ont grandi et que leur pĂšre s’oppose un peu plus Ă  elle. Le plan machiavĂ©lique de Folcoche đŸ€Ż Folcoche dĂ©cide alors d’accepter que le pĂšre emmĂšne Fredie et Brasse-Bouillon chez des amis et reste au chĂąteau pendant quelques semaines seule avec Marcel. Celui-ci qui prend le parti de sa mĂšre dĂ©nonce une cachette oĂč ses frĂšres cachaient des vivres pour les moments oĂč elle les en privait. À leur retour, Ferdinand qui est l’aĂźnĂ©, est fouettĂ© par le nouvel abbĂ© qu’elle a embauchĂ©. Elle espĂšre crĂ©er un conflit entre les deux frĂšres et ainsi les opposer, mais ceux-ci restent solidaires. Elle commence alors Ă  fomenter des plans tous plus tordus les uns que les autres pour torturer ses garçons. RĂ©sumĂ© des chapitres 16 Ă  la fin Les tentatives de meurtre đŸ”Ș ÉpuisĂ©s, les garçons dĂ©cident alors de tuer leur mĂšre pour en ĂȘtre dĂ©barrassĂ©s. Plusieurs tentatives Ils versent l’intĂ©gralitĂ© d’un mĂ©dicament dans son verre. Cela ne se solde que par une essaient de la noyer en la faisant sauter dans une barque qu’ils poussent au dernier moment pour qu’elle tombe dans l’eau. À leur plus grande surprise, elle en rĂ©chappe puisqu’elle sait nager. “La rage au cƓur, je dus assister au sauvetage de Folcoche par elle-mĂȘme. Sauvetage par elle-mĂȘme, je dis bien, car elles Ă©taient deux dans l’OmmĂ©e la fragile Mme Rezeau, toute couturĂ©e, sans muscles, manquant de souffle, et l’indomptable Folcoche, dĂ©cidĂ©e Ă  vivre et Ă  faire vivre son double, malgrĂ© l’eau sale qui lui trempait les cheveux, lui rentrait dans la gorge, vivement recrachĂ©e, malgrĂ© nos silencieuses priĂšres Ă  Satan. La voilĂ  qui se rapproche de la berge, la voilĂ  qui s’agrippe Ă  une touffe de sauges, l’arrache, retombe, saisit cette fois une racine plus solide et se hisse pĂ©niblement sur la rive oĂč elle s’effondre, Ă©puisĂ©e, mais sauvĂ©e Oh !” Cette deuxiĂšme tentative de meurtre aura pour consĂ©quence de mettre la mĂšre trĂšs en colĂšre. Elle prĂ©voira de battre Ă  nouveau Jean. Celui-ci s’échappera afin de rejoindre la maison de ses grands-parents maternels Ă  Paris. Malheureusement, ceux-ci dĂ©noncent Jean Rezeau car ils n’ont pas envie de s’en occuper et Brasse-Bouillon est ramenĂ© Ă  la Belle-Angerie. L’ultime plan de la marĂątre ⚔ La mĂšre essaie alors de jouer un dernier coup pour envoyer Jean en maison de correction. Elle cache une grosse somme d’argent et veut le faire accuser de vol. Avant qu’elle ne donne l’alerte, son fils lui rapporte la somme d’argent et la menace de rĂ©vĂ©ler cette affaire Ă  tous. Il exige de partir de la maison afin de devenir interne au collĂšge. RĂ©signĂ©e, Folcoche accepte. Jean Rezeau a gagnĂ©. À lire aussi L’origine du titre VipĂšre au poing Laisse-nous un commentaire ! Des questions ? Des bons plans Ă  partager ? Nous validons ton commentaire et te rĂ©pondons en quelques heures ! 🎉 Plongez-vous dans l'analyse du chapitre 20 de VipĂšre au poing d'HervĂ© Bazin pour approfondir votre comprĂ©hension de l'ouvre !Que retenir du chapitre... 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Un commentaire de texte complet et dĂ©taillĂ© L'outil indispensable pour percevoir rapidement ce qui fait du chapitre 20 de VipĂšre au poing une guerre psychologique entre mĂšre et fils !À propos de la collection PlĂ©biscitĂ© tant par les passionnĂ©s de littĂ©rature que par les lycĂ©ens, est considĂ©rĂ© comme une rĂ©fĂ©rence en matiĂšre d'analyse d'ouvres classiques et contemporaines. Nos analyses, disponibles au format papier et numĂ©rique, ont Ă©tĂ© conçues pour guider les lecteurs Ă  travers toute la littĂ©rature. Nos auteurs combinent thĂ©ories, citations, anecdotes et commentaires pour vous faire dĂ©couvrir et redĂ©couvrir les plus grandes ouvres littĂ©raires. est reconnu d'intĂ©rĂȘt pĂ©dagogique par le ministĂšre de l'Éducation. Plus d'informations sur Date de parution 08/12/2014 Editeur ISBN 978-2-8062-3328-8 EAN 9782806233288 Format ePub CaractĂ©ristiques du format ePub Protection num. pas de protection

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